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  • Raymond Domenech et son "joli" rêve

    On connaissait le rêve de Martin Luther King. On connaît désormais celui de Raymond Domenech… Interrogé hier sur RTL, l’ancien sélectionneur de l’équipe de France a évoqué ses « désirs d’avenir » et, donc, son « rêve ».

    Où l’on reparle d’un deuxième club à Paris

    Domenech

    DR

    Finalement, le rêve de Domenech est un peu le même que Michel Moulin ou Bernard Tapie, à un  moment : « Mon rêve… c’est le deuxième club parisien, avoir un projet pour monter une équipe. Il y a un seul club à Paris pour dix à Londres, deux à Barcelone, deux à Madrid. Avoir une rivalité dans la même ville entre deux clubs parisiens, ça serait bien. Je pourrais même les prendre en CFA ou en DH si le projet est bon. »

    Ce projet de deuxième club d’envergure, dans la capitale, a tout du vieux serpent de mer. Evoqué à maintes reprises, celui-ci n’a toujours pas été concrétisé. Ni au Red Star, ni au Paris FC, malgré tous les noms prestigieux qui y ont circulé, de Luc Besson à Eric Besson, en passant donc par Bernard Tapie ou, plus récemment, Luis Fernandez.

    Du football à la politique ?

    Depuis le cuisant échec de la Coupe du Monde 2010, Raymond Domenech cherche en tout cas une porte de sortie. On l’a ainsi vu cet été sur une France 3 aux commandes d’une émission qui a fait un bide retentissant. Il s’est aussi essayé au poker – il pratique ce sport depuis un certain temps maintenant –, avant de revenir sur les terrains de football, dans le monde amateur, pour s’occuper des jeunes joueurs de Boulogne-Billancourt.

    Au moment d’évoquer son avenir, l’ancien sélectionneur n’a pas caché qu »il avait des projets. Et pas seulement dans un club parisien. S’il ne devrait plus refouler les planches d’un théâtre – « J’aime le théâtre, mais ce n’est pas mon métier » –, il ne repousse pas forcément l’idée d’une carrière en politique, en lorgnant plutôt vers les partis de gauche, « dans le sens du partage, de l’équilibre ». « On ne m’a pas proposé mais c’est dommage parce que là, j’aurais peut-être dit oui… » Parce que, finalement, c’est la politique son métier ?

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