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  • Mulhouse était « mal préparé »…

    © FC Mulhouse

    Comme chaque semaine, nous vous proposons un recueil de réactions de joueurs et d’entraîneurs de CFA, après les rencontres de ce week-end. Un week-end notamment marqué par la surprenante défaite de Mulhouse à domicile contre Bourg-Péronnas, qui n’a pas manqué de faire réagir Laurent Croci. A l’inverse, le coach burgien, Laurent Grampeix, buteur avec Jura Sud ou encore Fred Remola, l’entraîneur tarbais, ont retiré des choses plutôt positives de cette troisième journée de championnat.

    Les réactions du week-end

    Laurent Croci, entraîneur de Mulhouse (après la défaite contre Bourg-Péronnas 1-2) : « C’est à moi que j’en veux, dit-il. J’ai mal préparé mon équipe pour ce rendez-vous et j’assume complètement la défaite. »

    Hervé Della Magiore, entraîneur de Bourg-Péronnas : « L’an dernier, nous avions attendu le mois de mars pour remporter notre premier succès en déplacement. Là, nous l’obtenons au terme de la troisième journée. Si certains ont pu douter avant, je pense que ces doutes sont levés. Maintenant, l’idéal serait tout de même de confirmer contre Lyon-Duchère : il faut être capables d’enchaîner. »

    Laurent Grampeix, joueur de Jura Sud (après la victoire à Sochaux 1-2) : « Je pense qu’effectivement il y a un coup à faire si on est réguliers, costauds à domicile comme l’année dernière. On le voit déjà, tout le monde ou presque peut battre tout le monde. Ça veut dire qu’on peut taper les prétendus gros. Mais ça veut dire aussi qu’il n’y a pas de petit. Tous les matchs sont aussi importants les uns que les autres. Une victoire c’est quatre points, contre le premier ou le dernier. »

    Fred Remola, entraîneur de Béziers (après le nul au Pontet 2-2) : « Il y a eu une prise de conscience après la dernière défaite. Et on monte en puissance petit à petit. Ce n’est pas parfait, mais il y a du mieux. Faire jouer la concurrence a amené une réaction. Il faut que les garçons comprennent qu’en CFA, on ne peut pas se satisfaire du service minimum ».

    Olivier Bijotat, entraîneur de Lens (après le nul contre Aubervilliers 1-1) : « Quand on regarde le déroulement général du match, il me semble que c’est un score de parité logique. On a été malmené pendant la première partie de la seconde mi-temps lors de laquelle Aubervilliers a su se créer des occasions en nombre. En revanche, ce qui est intéressant à relever c’est la bonne réaction que l’on a eu après l’égalisation. A ce moment-là, nous avons conduit le jeu et nous nous sommes créés des occasions qui auraient pu nous permettre d’aller chercher un deuxième but. Le bon moment de la seconde période est celui-ci ! Le regret, c’est que ce moment n’est pas été assez long. »

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